Mon corps, mon chemin, ma force.
Quand la guérison passe aussi par soi.
Mélanie Zémouri, assistante en pharmacie, a vécu ce que tant de femmes redoutent : le diagnostic d’un cancer du sein. Elle a traversé des phases de peur, d’incertitude, de douleur et en même temps, elle a fait des choix, petit à petit, pour reprendre la direction de son chemin.
Confiant dans la médecine conventionnelle, elle a suivi les protocoles recommandés.
Mais elle a aussi exploré d’autres voies : thérapies complémentaires, techniques alternatives, visualisation guidée, méditation. Dans ces univers, elle a puisé des outils pour se redonner de la force, pour nourrir son moral, raviver l’espoir. Au fil du temps, elle s’est reconstruite et aujourd’hui, elle va bien. Elle s’est remise, non pas parce qu’elle ignorait la gravité, mais parce qu’elle s’est impliquée activement dans son propre processus de guérison.
Dans ce chemin, deux influences majeures l’ont portée : la Méthode Simonton, « Guérire envers et contre tout » une approche validée par des études qui associe relaxation, imagerie mentale, soutien psychologique et visualisation positive et les enseignements de Natacha Calestremé, notamment à travers ses livres, « La Clé de votre énergie », où la dimension intérieure, spirituelle et mentale prend toute sa place dans le chemin de transformation.
Mélanie a intégré ces pratiques dans son quotidien : visualisations régulières, méditations guidées, travail sur les croyances limitantes, dialogue avec ses peurs. Elle a peu à peu reconnu la part de pouvoir qui restait en elle — même face à la maladie — et l’a rendue vivante.
C’est cette expérience qu’elle souhaite aujourd’hui offrir : une soirée où partager les façons concrètes dont elle a utilisé sa mentalité, sa volonté intérieure, pour avancer malgré l’épreuve.
Une soirée pour déposer les doutes, poser les questions, ressentir que tu n’es pas seule et apprendre des outils (visualisation, méditation, pratiques de bien-être) pour vivre la maladie autrement.
Parce que la maladie ne touche pas que le corps : elle bouscule les pensées, les émotions, la confiance.
Travailler le mental n’est pas une illusion douce-amère : c’est un levier réel pour améliorer la qualité de vie, pour adoucir la souffrance, pour retrouver une part de sens.
Parler, partager, écouter, c’est aussi alléger le poids invisible que chacun porte.
Viens rejoindre ce cercle bienveillant, porter ta voix, entendre d’autres histoires, repartir avec des pistes concrètes pour œuvrer de l’intérieur.
Ensemble, redonner de la lumière là où l’obscurité veut s’installer.
